Bateau ou boulot. Navette spatiale ou boulot même, soyons fou ! (Désolé Thomas Pesquet, tu nous inspire). Les parallèles sont nombreuses et ça vaut le coup parfois d’y penser pour prendre du recul, retrouver l’envie, identifier ses bonnes pratiques et en trouver de nouvelles !

Arnaud : Salut Marc, t’es où là tu fais quoi ?

Marc : Je prépare ma prochaine course-croisière ! Chez SIP, il n’y a pas que dans notre métier que nous sommes des aventuriers et des compétiteurs dans l’âme !

Arnaud : C’est un beau projet effectivement ! Mais est-ce sérieux ? Du bateau à la place du boulot ?

Marc : Mais tout à fait ! Aller faire du bateau c’est excellent pour le boulot !

Arnaud : Je comprends que tu défendes ton loisir coûte que coûte, mais franchement on ne peut assimiler les deux.

Marc : Que tu crois ! Il y a de grandes similitudes et forcément, les qualités nécessaires au travail se retrouvent en bateau. Cette pratique permet même de les développer, de les affiner.

Arnaud : Ok, tu es un bon commercial mais là vraiment j’ai du mal à te suivre. Ça tombe à l’eau ton truc !

Marc :Attends Arnaud, laisse-moi te montrer les similitudes. D’abord tu as une structure : Le bateau, il en existe des petits ou des grands, comme les entreprises, il y a des T.P.E. et des grands groupes. Tu es bien d’accord avec moi. Ensuite, il y a toujours un capitaine, celui qui fixe le cap, décide des objectifs et de la façon de les atteindre. Nous avons également un équipage plus ou moins important pour réaliser les manœuvres. A chaque poste il faut un spécialiste pour assurer la sécurité ET aussi le haut niveau de performance. Enfin, il y a la mer et la météo, éléments changeants, parfois favorables, parfois défavorables. Tout comme l’environnement économique, légal, social, politique, sanitaire. Tu vois, boulot ou bateau c’est kiff kiff !

Arnaud : Admettons. Ton raisonnement pourrait alors s’appliquer à beaucoup d’autres sports, comme le rallye automobile ou le pilotage d’aéronefs. Mais en quoi cela t’aide à développer tes compétences de décideur ?

Marc : Tout simplement parce que les compétences sont également les mêmes ! D’abord, Il faut avoir L’ENVIE, l’envie de se lancer, de prendre le départ. Ensuite il faut visionner son parcours idéal en projetant les pièges à éviter. Après Il faut motiver son équipage, lui expliquer la tactique. Une fois sur le terrain, c’est le grand moment de la mise en œuvre du plan, de la validation des bons choix et de la remise en cause des choix plus incertains. Cela force à la prise de décision en univers contraint. Tu vois les qualités nécessaires à la régate forgent celles indispensables à tout décideur ! Et je vais même te dire, lorsque je suis en manque de dynamisme je m’imagine sur mon bateau. Par exemple, pour une tache routinière qui me rebute, je me dis “là j’y vais en pilote automatique”.

Arnaud : Mais parfois La vie professionnelle c’est vraiment difficile, tu peux pas toujours mettre le pilote automatique !

Marc : tu as raison. Le gros temps est parfois dur à gérer dans l’univers professionnel. Mais cela ne change rien sinon que le besoin de compétences et de savoir-faire tant de la part du capitaine que de son équipage est encore plus fort !

Arnaud : oui voilà parfois on est à cours de compétence, il faut bien se l’avouer.

Marc : c’est dans ces moment-là que le routeur devient ton plus grand ami, celui qui n’est pas pris dans la tempête, qui peut t’écouter et t’apporter des informations, des options que tu es incapable de voir dans le brouillard.

Arnaud : OK, capitaine ? On y est dans la tempête. Alors, quels sont tes conseils ?

Marc : dans ce contexte de très mauvais temps, il faut activer tous les systèmes de surveillance et d’anticipation. Chacun doit être à son poste prêt à agir, tous les sens en éveil. I Cela consomme de l’énergie mais c’est indispensable pour  identifier toutes les menaces et les opportunités de manière objectives et raisonnée.

Arnaud : D’accord, mais accostes un peu ! Qu’est-ce que tout cela veut dire pour une entreprise et son décideur?

Marc : Le décideur doit réaliser ce difficile travail d’équilibriste entre délégation et coordination. Délégation accrue des équipes ; c’est-à-dire leur faire confiance pour gérer au mieux chacun leur poste ; et coordination pour assurer une cohésion de l’ensemble et garantir qu’au final toutes les actions tirent l’entreprise dans la même direction, celle qui a été définie.

Arnaud : Et comment fais-tu ce tour de passe-passe ?

Marc : Une seule solution : L’accompagnement. C’est à la fois du conseil et de la formation : Le conseil, c’est un autre point de vue et une analyse plus froide. La formation in situ c’est la garantie de mise en place dans les temps et dans les règles de l’art. Ainsi le décideur et ses équipes bénéficient d’un double effet positif dans la tourmente.

Arnaud : Je suppose que Sales In Progress peut être sollicité ?

Marc : Bien sûr ! Sales In Progress et ses partenaires sont des routeurs d’entreprises reconnu depuis plus de 10 ans ! I Alors appelle de suite le 06 34 22 31 71 ou demande un rendez-vous sur notre site www.salesinprogress.com et navigue plus sereinement !

Arnaud : Merci et salut Marc !

Marc : Salut Arnaud !

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